VOYANCE PAR MAIL : QUAND L’éCRIT OFFRE LA POSSIBILITé UN AUTRE TYPE DE CONSULTATION

Voyance par mail : quand l’écrit offre la possibilité un autre type de consultation

Voyance par mail : quand l’écrit offre la possibilité un autre type de consultation

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Autre complication : le danger de quorum. Tous les cliniciens ne sont pas à l’aise avec l’écrit. Certains envoient des écrits infiniment standards, des réponses génériques, des formulations flottantes pouvant s’adapter à n’importe quelle république. Cela crée une désappointement, parfois même une méfiance. Le relevant se sent solitaires, comme par exemple si sa demande n’avait pas subsisté réellement lue. c'est pas une dérive systématique, mais elle existe. Et elle fragilise la sécurité que l’on peut l'obtention dans le format. La voyance par mail ne s’adresse pas au plus grand nombre. Elle suppose une propension à utiliser sa question clairement, à se distancier de son désordre intérieur. Cela demande de la perspicacité, même dans un moment de trouble. Certains y parviennent. D’autres non. Et cela ne tient pas à l’intelligence ou à la fiabilité. Cela tient à l’état dans laquelle on se a au moment où l’on écrit. On ne consulte pas de la même goût ceci étant du à que l’on est en attente ou déjà dans une méthode de mise à plat. Ce que ce format offre la possibilité, en revanche, cela vient une fête différée. On n’a pas à agir rapide. On pourrait rendre utiliser. On est en capacité de ne pas entrer le message tout de suite. On pourrait le décoder de nombreuses fois. Cela crée une liberté dans la réception. Et dans certaines personnes cas, cette autonomie est puissante. Elle empêche la identification. Elle laisse le époques de estomper ce qui résonne vraiment.

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Ce n’était pas prévu. J’étais en train de trier mes correspondances mails, un dimanche en délicat d’après-midi, quand je suis tombée sur un vieux lien arboré de côté. Un site discret, relativement moderniste, mais précis. voyance olivier Il proposait une voyance par mail, une seule question, un contact par-dessous 48 heures. Rien de plus. J’ai cliqué, presque sans y avoir la compréhension, par contre parce que ce jour-là, j’en avais pas mal de prendre en arrondie. Je ne m’attendais pas à grand-chose. Juste à un autre regard, même bref, même nébuleux. Je n’avais jamais consulté par écrit. L’idée me semblait étrange. Comment quelqu’un peut captiver quoi que ce soit par deux ou trois phrases tapées en intensité ? Mais idéalement, c’était peut-être ce qu’il me fallait : écrire sans filtre, sans battre le rappel à réaliser très grande sensation. J’ai posé ma position en une dizaine de lignes. Pas de détails inutiles, pas d’explication. Juste ce que je portais sur des semaines. Et j’ai envoyé. Le soir-même, j’avais déjà oublié. La aube avait repris son fil. Ce n’est que deux évènements ultérieurement que la réponse est arrivée. Un mail, simple, sans mise en forme. Pas immensément long, mais dense. Le accent était direct, sans étape. Il n’y avait pas de introduction protecteur, pas de dette. Juste une voyance. Et dans cette lecture, une phrase qui m’a arrêtée distinct. Elle n’était ni violente, ni rassurant. Mais elle avait cette professionnalisme qui touche à un endroit intelligent, sans aviser.



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